Pourquoi créer un blog ? je me pose cette question car ce processus de dévoilement de soi ne me ressemble pas.
Ecrire sur quoi ? Splendor in the face... parler de beauté s'imposera à moi, surement; des beautés qui me font vivre; féminines, filmiques, écrites... je ne sais pas, j'improviserai. Une seule certitude; je ne parlerai pas de moi mais d'affects, parler de moi à travers les objets de ma fascination, des images qui habitent et torturent, dans le bon comme dans le mauvais sens du terme, voilà le "défi". On peut considérer ça comme vain, je le comprends. Parler de soi par l'intermédiaire de l'esthétique est une manière de mettre en avant notre rapport constant à l'image. Mais cette phrase ne sert à rien car mon blog ne sera pas conceptualisé, de même qu'il n'y aura pas de régularité des textes, ils apparaitrons par une nécessité d'écrire.
Cela pourra se réduire à de simples images parfois.
Je ne parlerai pas de politique. Non pas que ça me désintéresse totalement, mais je dois prendre du plaisir à écrire.
Splendor in the face... c'est bien sur une référence au sublime Splendor in the grass de Elia Kazan. Plus que ça, c'est une référence à le représentation de l'affect douloureux que véhicule le visage de Natalie Wood. La séquence du bain, le passage, l'esthétique affecté; on passe de la douceur à la violence, du chuchotement au cri, du visage innocent et parfait à un corps perturbé, altéré de l'intérieur, déstabilisé et grimaçant de douleur.
Les deux versants de la beauté. Le passage de la dévitalisation à la revitalisation, et vice versa. Ou alors l'impossibilité du passage... Je parlerai surement du cinéma de Verhoeven également. J'en ai besoin.
Tout ça pour dire que rien n'est précisé pour l'instant. Je suis dans le flou, ce dernier est la base de mon blog.
Ecrire sur quoi ? Splendor in the face... parler de beauté s'imposera à moi, surement; des beautés qui me font vivre; féminines, filmiques, écrites... je ne sais pas, j'improviserai. Une seule certitude; je ne parlerai pas de moi mais d'affects, parler de moi à travers les objets de ma fascination, des images qui habitent et torturent, dans le bon comme dans le mauvais sens du terme, voilà le "défi". On peut considérer ça comme vain, je le comprends. Parler de soi par l'intermédiaire de l'esthétique est une manière de mettre en avant notre rapport constant à l'image. Mais cette phrase ne sert à rien car mon blog ne sera pas conceptualisé, de même qu'il n'y aura pas de régularité des textes, ils apparaitrons par une nécessité d'écrire.
Cela pourra se réduire à de simples images parfois.
Je ne parlerai pas de politique. Non pas que ça me désintéresse totalement, mais je dois prendre du plaisir à écrire.
Splendor in the face... c'est bien sur une référence au sublime Splendor in the grass de Elia Kazan. Plus que ça, c'est une référence à le représentation de l'affect douloureux que véhicule le visage de Natalie Wood. La séquence du bain, le passage, l'esthétique affecté; on passe de la douceur à la violence, du chuchotement au cri, du visage innocent et parfait à un corps perturbé, altéré de l'intérieur, déstabilisé et grimaçant de douleur.
Les deux versants de la beauté. Le passage de la dévitalisation à la revitalisation, et vice versa. Ou alors l'impossibilité du passage... Je parlerai surement du cinéma de Verhoeven également. J'en ai besoin.
Tout ça pour dire que rien n'est précisé pour l'instant. Je suis dans le flou, ce dernier est la base de mon blog.
10 commentaires:
A oui tro b1 les aféct ds lé imag ontologikes du 6né artistike tro b1 le flou oci j'M b1 sa moi sa doi être ke j sui oci com lé foto lool. Sava boC b1 la suit rstp. a12c4
Lol t'es con. Tu peux écrire normalement stp. Conserve ton grand cynisme, mais expose le de manière compréhensible.
kikoo dans ta face.
(et bientôt le lien passemerveilleux)
Vous êtes des gros cons de merde.
Moi aussi, je peux laisser une vanne?
Bon, alors, au lieu denous expliquer pourquoi écrire ce blog, tu devrais nous expliquer pourquoi le lire...;):D
Si je sais pas pourquoi je l'écris, comment tu veux que je te dise comment le lire ? Lol
J'en sais rien, ne te force pas surtout, j'écrirai pour moi, je projetterai mes pensées inavouables.
Violent, l'image de Natalie qui semble flipper comme c'est pas permis.
Et ne laisse pas tomber ton blog, parce qu'on REVIENDRA TE HANTER! Mouahahahah.
tain tous ces gens dans tes commentaires qui boudent les miens, ça me fait comme une sorte de fussoir...
C'est beau hein ? j'ai déjà mon public prêt à me massacrer à la moindre faute. Je jubile.
Jericho: Si tu méritais seulement un peu de mon respect en tant que cinéphile tu saurais que Natalie ne flippe pas sur cette image. Tu m'as déçu.
Prout
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