Je peux évoquer aussi le grand trip hallucinatoire qu'est The Virgin Sacrifice de J.X Williams.
Même chose, à l'opposé, l'homme n'est pas présent mais son regard obsessionnel déforme et disloque la représentation de la femme. Le film débute par une image et une photographie vulgaire, digne d'un mauvais film X. Cet état se dissout par le regard, pour partir vers l'autre limite de la représentation. Une sublimation des visages mélangée à des images de mort. La mort et la souffrance de qui ? De celui qui regarde bien entendu.
Faces
Celui qui regarde ?
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